Le Langougnole - Haute-Loire 43

Malgré un temps maussade et une partie de pêche raccourcit pour cause de temps pluvieux. Une belle truite m'a fait le plaisir de venir voir ma nymphe

Le Langougnole est une des rivières les plus sauvages que je connaisse et que j'affectionne particulièrement. Le parcours que l'on a fait se trouve juste en dessous des gorges et est d'une beauté à couper le souffle pour tout pêcheur à la mouche



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Petit affluent de la Loire qui ne m'a jamais trop inspiré à l'époque où je trainais souvent mes néoprènes vers ces "hautes terres inconnues"...y'a déjà plus de trente ans !  
J'ai toujours considéré que c'était plus une rivière à "toquer" qu'à "moucher", (encaissée, encombrée, petits poissons...) donc je ne m'y suis jamais trop attardé et rien qu'à voir la topograhie des lieux sur cette vidéo je ne le regrette pas. D'autant plus qu'à deux pas de là, vers Arlempdes/Goudet coulait (coule toujours   ), dans un écrin à couper le souffle, une somptueuse Loire avec ses ombres immenses et ses belles truites.

Arlempdes/Goudet !

Voilà donc pourquoi, chaque fois que je peux :
Je m'en vais en Loire car ma muse aime les jolis châteaux  

sanfroi a écrit:

Arlempdes/Goudet !

Avant !

Vesdre a écrit:

Voilà donc pourquoi, chaque fois que je peux :
Je m'en vais en Loire car ma muse aime les jolis châteaux  

de porc de porc

baco07 a écrit:

sanfroi a écrit:

Arlempdes/Goudet !

Avant !

Oui, ça aussi.

A une époque j'y péchais au moins 3 fois/semaine dès l'ouverture de l'ombre. C'était à plus de 1H30 de route de chez moi (3H aller/retour !!!! ) ...et j'avais une deusche ! Quand je prenais un ombre de moins de 40 sur Arlempdes je me dépéchais vite de le décrocher avant que quelqu'un ne me voit.
Aujourd'hui, on me donne un jour de congé, on me paye pour y aller...même avec une berline Allemande de 200cv j'y vais pas !

Me rappelle encore... On prenait le petit sentier qui descend à gauche du Château et tout en bas, avant de traverser on pêchait la fin du lisse histoire de prendre les 5 ou 6 truites qui étaient toujours en poste à cet endroit... ça aurait été bête de leur marcher dessus.
Une fois traversé, il suffisait de suivre en aval, le sentier tracé par les moutons... Là commençait l'ailleurs.